Plasticulture et production animale

La plasticulture animale réduit l’impact environnemental de l’élevage, tout en garantissant ses rendements.

Les plasticulture animale jouent un rôle majeur pour la conservation et la valorisation des fourrages.

La plasticulture animale réduit l’impact environnemental de la production.

La plasticulture animale : environnement et enrubannage dans un village du centre de la France (Ph. M. Faugère)

La plasticulture animale au service de la production de fourrage augmente les rendements : un film de paillage sur le maïs permet de produire 4 à 6 tonnes de plus à l’hectare, soit l’équivalent de la quantité annuelle pour nourrir une vache laitière ou 3 veaux.
En plus de l’augmentation des fourrages, la plasticulture animale permet également de libérer de la surface cultivable pour d’autres productions.
Les films, ficelles et filets en plastiques protègent et conservent la production de maïs, de fourrage, d’herbe, de foin autorisant ainsi un apport nutritionnel équilibré tout au long de l’année au cheptel animal.

Plasticulture animale : silos d'ensilage de type "couloir bétonné"

Plasticulture animale : silos d’ensilage de type « couloir bétonné » (Ph. M. Faugère)

A l’origine l’ensilage traditionnel s’est développé en silo « taupinière » ou en silo « couloir bétonnés ». Depuis 20 ans se sont développés des techniques d’enrubannage et plus récemment  le stockage en silo boudin.

La technique d’enrubannage permet notamment :

  • la valorisation de petites quantités de fourrage en sortie d’hiver ou en automne, volumes qui ne pouvaient pas l’être auparavant.
  • la réduction des pertes de fourrage lors de conditions climatiques très pluvieuses qui peuvent provoquer la perte complète du fourrage par pourriture.
  • la fourniture aux animaux, par le stade de récolte conseillé, d’une alimentation très appétissante et à haute teneur nutritive.

La technique de stockage en silos boudins permet le stockage à la ferme de céréales broyées (le plus souvent du maïs) évitant ainsi le recours au séchage coûteux en énergie et réduit les coûts logistiques (transport chez des collecteurs et livraisons d’aliments à la ferme).

Le recours aux plastiques agricoles :

  • réduit l’investissement en bâtiments en dur pour le stockage ou l’élevage, toujours coûteux.
  • réduit les risques d’échauffement et d’incendie des stocks de foin.

La plasticulture animale est un allié de l’éleveur. Sans plastique, 60% de la production de lait ou de viande serait mise en danger. Le plastique est la meilleure garantie de la production.

Le logo "Plasticulture" est un lien d'identification pour l'ensemble de la communauté des acteurs de la plasticulture dans le monde.L’Agriculture Ecologiquement Intensive
Plasticulture et intérêt sur la production animale
Plasticulture et intérêt sur la production végétale